Bravo à Sylvie Méléard, professeure de mathématiques au Centre de Mathématiques Appliquées de l’École Polytechnique, lauréate du Prix Irène Joliot-Curie dans la catégorie « Femme scientifique de l’année » !
La rediffusion de la cérémonie de remise de prix du vendredi 7 mars à partir de 17h est disponible ici :
Un grand bravo aussi aux 3 lauréates du prix Jeune femme scientifique, Aude Bernheim, Morgane Vacher, Marie Verbanck ainsi qu’à Kate Grieve lauréate du prix Femme, recherche et entreprise et Céline TERNON qui reçoit le Prix spécial de l’engagement.
Céline TERNON reçoit le Prix spécial de l’engagement. Maîtresse de conférences en Physique à Grenoble INP – Phelma. Engagée en faveur de l’orientation et de la sensibilisation des jeunes filles et des jeunes en général vers les sciences, elle s’implique en tant que présidente de l’association Parité science et adhérente de l’Association Femmes et sciences. Elle est également chargée de mission égalité femmes-hommes à Grenoble INP – UGA et membre du bureau de la Vice-Présidence « égalité et lutte contre les discriminations » de l’Université Grenoble Alpes.
Kate Grieve, lauréate « Femme, recherche et entreprise ». Directrice de Recherche Inserm spécialisée en imagerie optique, ses travaux sont à l’interface entre la physique, la médecine, la biologie et le traitement d’images, ils révolutionnent le diagnostic et le suivi des pathologies ophtalmologiques et neurodégénératives.
Aude Bernheim, jeune femme scientifique de l’année. Chercheuse en microbiologie et en génétique à l’Institut Pasteur. En cinq ans, son travail a contribué à la découverte de 130 nouveaux systèmes antiviraux bactériens, alors qu’en 2018, seuls trois étaient connus.
Morgane Vacher, jeune femme scientifique de l’année. Chargée de recherche au CNRS en chimie, au laboratoire CEISAM. Son expertise repose sur une rare double compétence en chimie quantique et dynamique moléculaire
Marie Verbanck, jeune femme scientifique de l’année. Professeure Junior en statistique-génétique à l’Inserm. Passionnée par les mathématiques et la génétique, ses travaux ont permis des avancées majeures, comme l’inclusion de patients d’origines ethniques variées dans les études génétiques, auparavant limitées aux populations européennes.