J’ai travaillé sur des centaines de projets, en accompagnement, pour aider les scientifiques – chercheurs, stagiaires, thésards, … – à travailler avec leurs données, à dédramatiser un peu ces maths qui font si peur.
J’aime programmer, c’est un jeu pour moi.
Quand je suis derrière mon ordi, en train de me casser la tête devant des messages d’erreurs horribles, je suis en train de jouer.
Il ne faut pas hésiter à suivre ce qu’on aime faire, mais c’est difficile de se connaître. On nous demande, quand on est jeune, de tracer un chemin de vie alors qu’on ne se connaît même pas.
Extrait de la vidéo de l’interview (sous-titres disponibles français et anglais)